Buzz Holling has introduced the concept of adaptative cycles for describing the evolution of ecosystems such as forests. He has generalized the concept, including even human activities. Panarchy has been coined for describing a way of organizing ecosystems and society according to such adaptative cycles, embeded at different levels. The question it raises is to know whether such a model can really describe the behaviour of a human society, which is able to anticipate the consequences of its actions. The development of our socities seems to follow successives waves, rather than the repetition of cycles. Thus, as advocates Ervin Laszlo, our priority should be to maximise the resilience of our environment, and thus to accept to change our behaviour, for preserving our environment which ungoes multiple cycles, but changes much more slowly than human societies.
Buzz Holling, un scientifique canadien, s'est rendu célèbre pour sa théorie des cycles adaptatifs. Cette théorie a été initialement développée à partir de l'analyse de l'évolution des forêts. Lorsque qu'une forêts se développe, les interactions entre les différentes composantes de l'écosystème qu'elle constitue se multiplient. Chacun des composants tend à se spécialiser. L'écosystème parvient ainsi à mieux utiliser l'ensemble des ressources dont il dispose, mais en même temps, il devient plus fragile. Cette perte de résilience le rend plus vulnérable à des catastrophes naturelles telles qu'incendie ou insectes prédateurs. Il en résulte à un certain moment une destruction de l'écosystème, qui doit ensuite se reconstituer progressivement pour rétablir son captal de développement et relever le niveau de résilience. D'après Holling et d'autres chercheurs qui ont
suivi la même voie, ce modèle peut être généralisé à l'ensemble des écosystèmes, y compris les activités humaines. Il en résulte une multiplicité de cycles adaptatifs emboités les uns dans les autres. Pour Holling, il est nécessaire d'intégrer les activités dans un tel mode de fonctionnement, en travaillant à créer les conditions leur permettant de rétablir un niveau de résilience élevé à la suite d'une crise. Il a qualifié de panarchie, un mode de fonctionnement conforme à ce schéma, en le considérant comme seul compatible avec les mécanismes d'évolution des écosystèmes. Différents auteurs ont ainsi considéré que la destruction "créatrice" du système technico-économique actuel, crée par la crise, suivie par la décomposition du système actuel pourrait être suivie par un une phase de réorganisation et de "rebond", à condition de d'anticiper le phénomène et de préparer des conditions propices à un renforcement de la résilience du système. On peut toutefois se demander, si le schéma du cycle adaptatif d'une forêt décrit correctement le fonctionnement d'une société humaine, qui procède plutôt par vagues d'innovation. L'être humain est en principe capable d'anticiper les conséquences de ses actes. Comme le dit Ervin Laszlo, notre priorité est donc de renforcer la résilience de notre environnement et pour cela d'accepter de changer de comportement.
suivi la même voie, ce modèle peut être généralisé à l'ensemble des écosystèmes, y compris les activités humaines. Il en résulte une multiplicité de cycles adaptatifs emboités les uns dans les autres. Pour Holling, il est nécessaire d'intégrer les activités dans un tel mode de fonctionnement, en travaillant à créer les conditions leur permettant de rétablir un niveau de résilience élevé à la suite d'une crise. Il a qualifié de panarchie, un mode de fonctionnement conforme à ce schéma, en le considérant comme seul compatible avec les mécanismes d'évolution des écosystèmes. Différents auteurs ont ainsi considéré que la destruction "créatrice" du système technico-économique actuel, crée par la crise, suivie par la décomposition du système actuel pourrait être suivie par un une phase de réorganisation et de "rebond", à condition de d'anticiper le phénomène et de préparer des conditions propices à un renforcement de la résilience du système. On peut toutefois se demander, si le schéma du cycle adaptatif d'une forêt décrit correctement le fonctionnement d'une société humaine, qui procède plutôt par vagues d'innovation. L'être humain est en principe capable d'anticiper les conséquences de ses actes. Comme le dit Ervin Laszlo, notre priorité est donc de renforcer la résilience de notre environnement et pour cela d'accepter de changer de comportement.
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